L'Union Nationale Lycéenne 31, à l'honneur de vous annoncer la création de son nouveau site internet plus pratique.
Le bureau Fédéral de l'UNL31, vous remercie de votre visite et vous souhaite de bonne vacances !
Amitiés militantes
mardi 18 août 2009
vendredi 17 avril 2009
Violences : Le gouvernement sur une fausse piste
Paris, le 17 Avril 2009.
Xavier Darcos et Michelle Alliot-Marie présentaient il y a peu leur nouveau plan pour assurer une meilleure sécurité dans les lycées. Ce plan consistait notamment en la généralisation des caméras de surveillance dans les établissements mais aussi en un renforcement de la présence policière.
En effet, certains lycées ont dernièrement fait l’objet d’incidents provenant de l’extérieur et perturbant quelque peu le fonctionnement de ces établissements scolaires. La presse a relayé l’information en exposant en détail l’intrusion d’individus au sein de ces lycées et les actes de violences qu’ils y ont commis.
Le ministre de l’éducation, Xavier Darcos, accompagné de la ministre de l’intérieur Michelle Alliot-Marie, n’ont alors pas fait attendre leurs réactions.
D’un commun accord, les deux ministres ont décidé de régler ce problème en renforçant la présence policière aux sorties des établissements scolaires et en augmentant l’usage de la vidéo surveillance.
L’Union Nationale Lycéenne ne peut que se méfier de l’utilisation médiatique de ce problème par le gouvernement dans le but d’effrayer et de diviser la population.
Les actes de violences sont trop souvent le reflet d’un malaise social très présent au sein de la jeunesse, ce problème ne peut que se résoudre par le renforcement, non pas de la présence policière, mais de la présence humaine au sein des lycées grâce à un personnel éducatif à l’écoute des jeunes.
En effet, les réductions de moyens humains ont entraîné ces dernières années une diminution de l’encadrement des jeunes et entraîne alors un climat oscillant entre les violences scolaires et les répressions des administrations envers certains élèves irréprochables notamment plusieurs responsables des fédérations de l’UNL notamment Aurlane Gerard du 88, Alexis Jalbaud du 31 ou encore Valentin Lamarre du 44…
L’UNL rappelle donc la nécessitée d’un encadrement par du personnel compétent (et non policier) pour, avant la répression, apprendre justement aux jeunes la cohabitation, le vivre ensemble, la solidarité et d’autres valeurs primordiales !
L’UNL rappelle également la nécessité de développer des structures scolaires ouvertes à toute la population habitant à proximité afin que les établissements scolaires deviennent des lieux d’ouverture à la culture et permettent le renforcement du dialogue entre les personnes ayant un lien direct ou indirect avec ces infrastructures. Ces infrastructures ainsi que les moyens humains (notamment en postes de surveillants) nécessaires permettraient ainsi un réel dialogue et un recul de la violence scolaire actuelle.
Ce projet ne répond en rien aux besoins prioritaires de l’éducation actuellement à savoir des moyens humains et financiers qui eux permettraient un vrai recul de la violence scolaire et de la délinquance, contrairement aux mesures proposées.
Ainsi, l’Union Nationale Lycéenne, premier syndicat lycéen français, demande aux ministres de donner les moyens suffisants au personnel d’éducation qui est essentiel au bon déroulement de la vie au sein d’un établissement et à l’ouverture des structures scolaires par l’intermédiaire d’événements culturels favorisant alors un dialogue intergénérationnel.
Lucie Bousser
Présidente de l'Union Nationale Lycéenne
Xavier Darcos et Michelle Alliot-Marie présentaient il y a peu leur nouveau plan pour assurer une meilleure sécurité dans les lycées. Ce plan consistait notamment en la généralisation des caméras de surveillance dans les établissements mais aussi en un renforcement de la présence policière.
En effet, certains lycées ont dernièrement fait l’objet d’incidents provenant de l’extérieur et perturbant quelque peu le fonctionnement de ces établissements scolaires. La presse a relayé l’information en exposant en détail l’intrusion d’individus au sein de ces lycées et les actes de violences qu’ils y ont commis.
Le ministre de l’éducation, Xavier Darcos, accompagné de la ministre de l’intérieur Michelle Alliot-Marie, n’ont alors pas fait attendre leurs réactions.
D’un commun accord, les deux ministres ont décidé de régler ce problème en renforçant la présence policière aux sorties des établissements scolaires et en augmentant l’usage de la vidéo surveillance.
L’Union Nationale Lycéenne ne peut que se méfier de l’utilisation médiatique de ce problème par le gouvernement dans le but d’effrayer et de diviser la population.
Les actes de violences sont trop souvent le reflet d’un malaise social très présent au sein de la jeunesse, ce problème ne peut que se résoudre par le renforcement, non pas de la présence policière, mais de la présence humaine au sein des lycées grâce à un personnel éducatif à l’écoute des jeunes.
En effet, les réductions de moyens humains ont entraîné ces dernières années une diminution de l’encadrement des jeunes et entraîne alors un climat oscillant entre les violences scolaires et les répressions des administrations envers certains élèves irréprochables notamment plusieurs responsables des fédérations de l’UNL notamment Aurlane Gerard du 88, Alexis Jalbaud du 31 ou encore Valentin Lamarre du 44…
L’UNL rappelle donc la nécessitée d’un encadrement par du personnel compétent (et non policier) pour, avant la répression, apprendre justement aux jeunes la cohabitation, le vivre ensemble, la solidarité et d’autres valeurs primordiales !
L’UNL rappelle également la nécessité de développer des structures scolaires ouvertes à toute la population habitant à proximité afin que les établissements scolaires deviennent des lieux d’ouverture à la culture et permettent le renforcement du dialogue entre les personnes ayant un lien direct ou indirect avec ces infrastructures. Ces infrastructures ainsi que les moyens humains (notamment en postes de surveillants) nécessaires permettraient ainsi un réel dialogue et un recul de la violence scolaire actuelle.
Ce projet ne répond en rien aux besoins prioritaires de l’éducation actuellement à savoir des moyens humains et financiers qui eux permettraient un vrai recul de la violence scolaire et de la délinquance, contrairement aux mesures proposées.
Ainsi, l’Union Nationale Lycéenne, premier syndicat lycéen français, demande aux ministres de donner les moyens suffisants au personnel d’éducation qui est essentiel au bon déroulement de la vie au sein d’un établissement et à l’ouverture des structures scolaires par l’intermédiaire d’événements culturels favorisant alors un dialogue intergénérationnel.
Lucie Bousser
Présidente de l'Union Nationale Lycéenne
jeudi 5 mars 2009
Grève générale du 19 mars 2009
LYCÉENS DE LA HAUTE-GARONNE TOUS DANS LA RUE LE 19 MARS!
L'U.N.L 31 constate que pour le mois de Janvier il y a eu 90 200 chômeurs en plus.
La France est dans une crise économique profonde qui entraîne de plus en plus une baisse du pouvoir d'achat des français.
La réforme des lycées est toujours au point mort sans aucune avancés positives de la part du gouvernement et en particulier du Ministère de l'éducation nationale malgré un report annoncé. Elle n'est donc aucunement remise à plat comme l'avais promis Mr Darcos.
Malgré la consultation prévue auprès des lycéens par le ministère, l'U.N.L 31 reste sceptique quand à la véritable prise en compte des revendications lycéennes.
Les suppressions de postes sont toujours d'actualité avec prés de 13 500 suppressions de poste dans l'éducation nationale.
Les conditions d'enseignements des lycéens de la Haute-Garonne ne vont pas s'arranger.
Des B.E.P vont être supprimé, la mise ne place de B.A.C pro 3 ans va provoquer une baisse des résultats scolaire des élèves.
Les lycées généraux ne sont pas épargner !
L’U.N.L 31 appelle tous les élus à voter et se battre contre les Dotations Horaires Globales attribuées par les Rectorats aux lycées pour l’année prochaine.
Des heures de cours, des postes, et même des classes entières vont être supprimées, surtout dans les filières professionnelles et technologiques !
Le combat est loin d'être fini et l'U.N.L 31 ne laissera pas passer une réforme écrite à marche forcée et basée sur une politique de coupes budgétaires et de suppressions de postes!
C'est pour cela que l'U.N.L 31 appel tous les lycéens, parents, enseignants et personnels de l'éducation à descendre dans la rue le 19 mars 2009.
Lieu de la manifestation:
Place Arnaud Bernard
Toulouse
14h30
samedi 31 janvier 2009
Manifestation du 29/01/2009
Le Jeudi 29 Janvier fut une journée de mobilisation extraordinaire à Toulouse pour lutter contre la casse des services publics, avec plus de 100 000 personnes selon les organisateurs de la manifestation.L'U.N.L 31 à participé à ce cortège, ainsi que de nombreux syndicats de salariés, d'enseignants, FCPE . . .
L'U.N.L 31 demande au ministre de l'éducation nationale, d'annuler les suppressions de postes afin de garantir un enseignement public de qualité, l'arrêt définitif des suppressions ne peut être qu'un préalable aux négociations sur la réforme du lycée.
La mobilisation qui a eu lieu le 29 doit faire ouvrir les yeux au gouvernement, ce dernier doit rendre les mesures adéquates et prendre en compte l'avis de tous les citoyens.
L' U.N.L 31 affirme que si le gouvernement ne fait rien, les lycéens de la Haute-Garonne continuerons à être présent dans la rue, afin de se battre contre cette réforme qui nuira à notre éducation et à celle de nos futurs enfants !
Alexis JALBAUD
UNL 31
dimanche 25 mai 2008
Manif du 24 mai (avec le lycée Fermat !!)
Réforme scolaire: entre 1.500 et 4.000 personnes manifestent à Toulouse
Entre 1.500, selon la police, et 4.000 personnes, selon les organisateurs, ont manifesté samedi matin à Toulouse pour protester contre les suppressions de postes d'enseignants prévues à la rentrée dans l'Education nationale.
Le cortège, qui s'étendait sur un bon km autour de la place du Capitole, siège de l'hôtel de ville de Toulouse, a sillonné les rues dans une ambiance bon enfant sous une pluie fine. En tête de la manifestation, un orchestre avec guitares, percussions et choristes, juché sur une camionnette, donnait le “la” aux lycéns, enseignants et parents d'élèves rassemblés, qui reprenaient chansons et slogans.
De nombreuses banderoles étaient déployées sur lesquelles on pouvait lire: “Non aux EGM (enseignants gouvernementalement modifiés)”, “Suppressions de postes et programmes incohérents: +Darkosy+ tu te moques de nous et de nos enfants!”, “Professeurs, parents, ensemble contre des réformes inadaptées”, a constaté un journaliste de l'AFP.
Beaucoup de manifestants portaient un badge de la Fédération des conseils de parents d'élèves des écoles publiques (FCPE), première fédération de parents d'élèves.
De nombreuses délégations des fédérations de l'Education, de l'Union nationale lycéenne de Haute-Garonne (UNL31) et du syndicat étudiant Unef étaient présentes dans le défilé.
Venues d'un établissement huppé de Toulouse, deux lycéennes, Sarah et Lorène, avouaient être là par solidarité: “Il n'y a pas de suppressions de postes chez nous, mais on manifeste pour soutenir les autres lycéens moins favorisés”.
A l'issue de la manifestation, un rassemblement était prévu devant l'entrée du cimetière Terre Cabade, le plus grand de Toulouse, pour une action symbolique baptisée “enterrement de l'Education nationale”. A l'appel de l'assemblée générale inter-établissements personnels-lycéens-parents d'élèves de Haute-Garonne, les manifestants étaient appelés à écrire sur des feuilles et des banderoles “tout ce que Darcos veut enterrer”.
Source : www.vousnousils.frvendredi 23 mai 2008
Communiqué de presse de l'UNL 31
Toulouse le 23 mai 2008,
De nombreux lycéens sont descendus dans la rue le 15 mai et le 22 mai dernier. les lycéens sont de plus en plus mobilisés et ont pris conscience des attaques nombreuses du gouvernement contre le service public d'éducation. Ils seront encore plus nombreux lors des prochaines journées de mobilisation.
L'Union Nationale Lycéenne de Haute-Garonne (UNL31) appelle les lycéens à descendre dans la rue le samedi 24 mai au côté des enseignants et des parents d'élèves. Nous donnons rendez vous à tous les lycéens mobilisés à 10h30 place du Capitole à Toulouse.
Plus d'une quinzaine de lycées sont mobilisés et nous espérons que la mobilisation va s'amplifier. Malgré quelques avancées obtenues par l'UNL, la principale revendication concernant la suppression de 80 000 postes dans l'Education nationale d'ici 2012 n'a pas été satisfaite. Nous rappelons au gouvernement que la baisse de moyens alloués à l'éducation entraînera de graves répercussions sur l'enseignement en France.
Au côté des organisations syndicales d'enseignants et de parents d'élèves nous continuerons la mobilisation tant que le gouvernement n'écoutera pas nos revendications et les attentes des lycéens pour un service public d'éducation de qualité.
--
Fédération UNL 31
unl31@unl-fr.org
http://unl31.blogspot.fr
jeudi 15 mai 2008
Nouvelle journée de mobilisation réussie!
Cette nouvelle journée de mobilisation a montré l'amplification du mouvement et la prise de conscience des lycéens contre la casse du Service public d'éducation
>>>> 5 000 lycéens dans le cortège toulousain parmi plus de 15 000 manifestants !
>>>> 5 000 lycéens dans le cortège toulousain parmi plus de 15 000 manifestants !
Plus de 300 000 manifestants partout en France : L'UNL demande à être reçue par Xavier Darcos !
Paris, le 15 Mai 2008.
Alors que le ministre de l'Education Nationale fait mine de croire que les reculs qu'il a concédé aux lycéens la semaine dernière seraient suffisants, la mobilisation d'aujourd'hui démontre que les lycéens et la communauté éducative ne sont pas satisfaits. En effet, aujourd'hui, c'est plus de 300 000 manifestants qui ont défilé partout en France, soit nettement plus que toutes les mobilisations précédentes. Lycéens, profs, fonctionnaires, se sont rassemblés pour exprimer leur refus des suppressions de postes et leur attachement à un service public de qualité. Le front de la contestation s'élargit donc, et de nouvelles catégories de population se mobilisent désormais aux côtés des lycéens. L'UNL estime que le gouvernement se doit maintenant de prendre en compte les inquiétudes des lycéens et de donner des garanties claires pour l'avenir de l'Education Nationale.
Les lycéens ont récemment réussi à faire reculer Xavier Darcos sur des éléments significatifs, notamment sur la réforme du bac pro avec le maintien du BEP, et sur la création de 1500 postes pour mettre en place un service public d'aide scolaire. Cependant, la mobilisation massive d'aujourd'hui démontre que ces reculs sont totalement insuffisants pour les lycéens et la communauté éducative et que le Ministre doit répondre à la revendication centrale : le refus des suppressions de postes, pour 2008 et les années suivantes. Parce qu'il est inacceptable de cautionner une détérioration de la qualité de l'enseignement, l'UNL juge d'autant plus importante la rencontre qu'elle demande au ministre pour porter la voix lycéenne qui s'est une nouvelle fois exprimée dans la rue.
Les lycéens se sont une nouvelle fois mobilisés très fortement dans toutes les régions. A Paris ce sont 15 000 lycéens qui battaient le pavé lors d'une manifestation qui a réuni 50 000 personnes, 30 000 personnes à Marseille, 25 000 à Nantes, 15 000 à Toulouse, Rennes et Toulon, 10 000 à Lyon, 3000 à La Réunion…
Suite à la réussite significative de cette nouvelle journée de mobilisation nationale du monde éducatif, l'UNL demande à être reçue par le ministre de l'Education Nationale pour aborder les revendications lycéennes sur les suppressions de postes à la rentrée 2008 et celles à craindre pour les années à venir. Le Ministre doit arrêter de faire diversion et de répondre lorsque l'UNL lui parle des suppressions de postes réforme du lycée ou du bac pro. En l'absence de réponse sur les suppressions de postes, les lycéens sauront prendre leurs responsabilités aux côtés de la communauté éducative, et profiter des nombreuses dates de mobilisation du mois de mai pour faire entendre leurs exigences.
Parce qu'une éducation de qualité est un droit pour tous, l'UNL réaffirme son opposition résolue à une politique éducative fondée sur la rigueur budgétaire et met en garde le gouvernement quant aux conséquences pour le futur de la poursuite de cette logique, en terme de dégradation du Service Public d'Education et de mobilisation des acteurs de l'Education au premier rang desquels les lycéens.
Les lycéens ont récemment réussi à faire reculer Xavier Darcos sur des éléments significatifs, notamment sur la réforme du bac pro avec le maintien du BEP, et sur la création de 1500 postes pour mettre en place un service public d'aide scolaire. Cependant, la mobilisation massive d'aujourd'hui démontre que ces reculs sont totalement insuffisants pour les lycéens et la communauté éducative et que le Ministre doit répondre à la revendication centrale : le refus des suppressions de postes, pour 2008 et les années suivantes. Parce qu'il est inacceptable de cautionner une détérioration de la qualité de l'enseignement, l'UNL juge d'autant plus importante la rencontre qu'elle demande au ministre pour porter la voix lycéenne qui s'est une nouvelle fois exprimée dans la rue.
Les lycéens se sont une nouvelle fois mobilisés très fortement dans toutes les régions. A Paris ce sont 15 000 lycéens qui battaient le pavé lors d'une manifestation qui a réuni 50 000 personnes, 30 000 personnes à Marseille, 25 000 à Nantes, 15 000 à Toulouse, Rennes et Toulon, 10 000 à Lyon, 3000 à La Réunion…
Suite à la réussite significative de cette nouvelle journée de mobilisation nationale du monde éducatif, l'UNL demande à être reçue par le ministre de l'Education Nationale pour aborder les revendications lycéennes sur les suppressions de postes à la rentrée 2008 et celles à craindre pour les années à venir. Le Ministre doit arrêter de faire diversion et de répondre lorsque l'UNL lui parle des suppressions de postes réforme du lycée ou du bac pro. En l'absence de réponse sur les suppressions de postes, les lycéens sauront prendre leurs responsabilités aux côtés de la communauté éducative, et profiter des nombreuses dates de mobilisation du mois de mai pour faire entendre leurs exigences.
Parce qu'une éducation de qualité est un droit pour tous, l'UNL réaffirme son opposition résolue à une politique éducative fondée sur la rigueur budgétaire et met en garde le gouvernement quant aux conséquences pour le futur de la poursuite de cette logique, en terme de dégradation du Service Public d'Education et de mobilisation des acteurs de l'Education au premier rang desquels les lycéens.
Florian Lecoultre
Président de l'UNL
Président de l'UNL
Contact presse : Lucas Jourdain : 06 74 78 84 40
vendredi 9 mai 2008
Les lycéens obtiennent de premières avancées, L'UNL appelle à manifester le 15 mai !
Paris, le 09 Mai 2008.
Xavier Darcos a reçu cet après-midi les organisations lycéennes pour ouvrir le dialogue et annoncer un certain nombre de mesures en réponse aux inquiétudes des lycéens mobilisés massivement depuis deux mois. Ces annonces vont dans le bon sens, mais restent très insuffisantes puisqu’elles ne répondent pas à la revendication principale des lycéens : le gel des suppressions massives de postes prévues pour 2008 et les années suivantes qui menacent le service public d’éducation.
Le Ministre s’est engagé à ce que le BEP soit maintenu et à ce que le bac pro puisse continuer à être organisé en 4 ans, en fonction du niveau des élèves et des filières. Les lycéens ont également obtenu la mise en place d’une session de rattrapage pour le bac pro à l’image de ce qui existe pour les bacs généraux et technologiques, permettant enfin l’égalité des droits entre tous les lycéens.
Les lycéens ont également obtenu des outils pour permettre la réussite de tous avec la création d’un service public d’aide scolaire permettant de lutter contre les entreprises de soutien scolaire privées, réservées aux lycéens issus des familles les plus favorisées. Le Ministre s’est aussi engagé à ce que 1500 assistants d’éducation soient recrutés à la rentrée 2008 pour développer l’encadrement dans les lycées.
Le Ministre a annoncé la mise en place d’un statut du lycéen, prévoyant notamment la généralisation des maisons des lycéens, d’augmentation des prérogatives des CVL et CAVL et la mise en place d’une carte nationale du lycéen ouvrant des droits (culture, transport, etc...).
Enfin, les lycéens ont obtenu l’engagement du Ministre que la réforme du lycée permette de l’autonomie des lycéens et l’interdisciplinarité.
Cependant, ces avancées ne permettent pas de répondre à l’inquiétude majeure des lycéens sur l’avenir du service public d’éducation. Le ministre n’a répondu ni sur le rétablissement des 11 200 postes supprimés à la rentrée prochaine, ni sur le gel nécessaire des suppressions prévues les années suivantes (80 000 dans les 3 ans). Comment parler de réussite et permettre une réforme du lycée en supprimant à priori plusieurs dizaines de milliers de postes ?
L’UNL dénonce l’aveuglement idéologique du Ministre qui semble bien plus préoccupé par la recherche d’économies à tout prix plutôt que par l’avenir des lycéens et la qualité du système éducatif. Plutôt que de dénoncer « les lycéens qui manifestent tous les 15 mois » (Darcos) ou de trouver normal, « quand on est jeune, [d’être] forcément inquiet » (Sarkozy), le gouvernement serait bien inspiré d’entendre enfin le malaise et l’inquiétude des lycéens, à laquelle il ne répond pas, mais qu’il contribue à amplifier en appliquant une politique éducative régressive.
L’UNL constate avec satisfaction que Xavier Darcos a fait le choix du dialogue avec les lycéens. Le rendez-vous d’aujourd’hui tranche de manière significative avec les provocations de ces derniers jours, où le ministre dénonçait les manifestations lycéennes qui « ne servent à rien » et qui s’apparentaient à « une bouffonnerie ». En ouvrant le dialogue et en apportant aujourd’hui de premiers éléments de réponse à la mobilisation des lycéens, Xavier Darcos fait la démonstration que les manifestations ne servent pas à rien ! L’UNL lui demande de poursuivre ce dialogue.
L’UNL appellent donc l’ensemble des lycéens à poursuivre la mobilisation en manifestant massivement le 15 mai aux côtés des enseignants pour exiger le rétablissement des 11 200 postes en 2008, l’amélioration des conditions d’encadrement à la rentrée prochaine et la non application de la suppression d’un fonctionnaire sur deux partant en retraite pour l’éducation dans les années à venir.
Le Ministre s’est engagé à ce que le BEP soit maintenu et à ce que le bac pro puisse continuer à être organisé en 4 ans, en fonction du niveau des élèves et des filières. Les lycéens ont également obtenu la mise en place d’une session de rattrapage pour le bac pro à l’image de ce qui existe pour les bacs généraux et technologiques, permettant enfin l’égalité des droits entre tous les lycéens.
Les lycéens ont également obtenu des outils pour permettre la réussite de tous avec la création d’un service public d’aide scolaire permettant de lutter contre les entreprises de soutien scolaire privées, réservées aux lycéens issus des familles les plus favorisées. Le Ministre s’est aussi engagé à ce que 1500 assistants d’éducation soient recrutés à la rentrée 2008 pour développer l’encadrement dans les lycées.
Le Ministre a annoncé la mise en place d’un statut du lycéen, prévoyant notamment la généralisation des maisons des lycéens, d’augmentation des prérogatives des CVL et CAVL et la mise en place d’une carte nationale du lycéen ouvrant des droits (culture, transport, etc...).
Enfin, les lycéens ont obtenu l’engagement du Ministre que la réforme du lycée permette de l’autonomie des lycéens et l’interdisciplinarité.
Cependant, ces avancées ne permettent pas de répondre à l’inquiétude majeure des lycéens sur l’avenir du service public d’éducation. Le ministre n’a répondu ni sur le rétablissement des 11 200 postes supprimés à la rentrée prochaine, ni sur le gel nécessaire des suppressions prévues les années suivantes (80 000 dans les 3 ans). Comment parler de réussite et permettre une réforme du lycée en supprimant à priori plusieurs dizaines de milliers de postes ?
L’UNL dénonce l’aveuglement idéologique du Ministre qui semble bien plus préoccupé par la recherche d’économies à tout prix plutôt que par l’avenir des lycéens et la qualité du système éducatif. Plutôt que de dénoncer « les lycéens qui manifestent tous les 15 mois » (Darcos) ou de trouver normal, « quand on est jeune, [d’être] forcément inquiet » (Sarkozy), le gouvernement serait bien inspiré d’entendre enfin le malaise et l’inquiétude des lycéens, à laquelle il ne répond pas, mais qu’il contribue à amplifier en appliquant une politique éducative régressive.
L’UNL constate avec satisfaction que Xavier Darcos a fait le choix du dialogue avec les lycéens. Le rendez-vous d’aujourd’hui tranche de manière significative avec les provocations de ces derniers jours, où le ministre dénonçait les manifestations lycéennes qui « ne servent à rien » et qui s’apparentaient à « une bouffonnerie ». En ouvrant le dialogue et en apportant aujourd’hui de premiers éléments de réponse à la mobilisation des lycéens, Xavier Darcos fait la démonstration que les manifestations ne servent pas à rien ! L’UNL lui demande de poursuivre ce dialogue.
L’UNL appellent donc l’ensemble des lycéens à poursuivre la mobilisation en manifestant massivement le 15 mai aux côtés des enseignants pour exiger le rétablissement des 11 200 postes en 2008, l’amélioration des conditions d’encadrement à la rentrée prochaine et la non application de la suppression d’un fonctionnaire sur deux partant en retraite pour l’éducation dans les années à venir.
Florian Lecoultre
Président de l'UNL
Président de l'UNL
Contact presse : Lucas Jourdain : 06 74 78 84 40
mercredi 7 mai 2008
Une journée du 6 mai réussie dans toute la France et notamment sur Toulouse....
Toulouse le 6 mai 2008
Communiqué de presse de l'Union Nationale Lycéenne 31
Aujourd'hui, mardi 6 mai 2008, 3000 lycéens sont descendus dans les rues de Toulouse. L'UNL 31 se félicite que de nombreux lycéens rejoignent la mobilisation. Cela montre que la mobilisation lycéenne s'amplifie de jours en jours.
L'UNL 31 a aussi remarqué la présence de parents et de professeurs qui soutiennent la mobilisation contre les suppressions de postes dans l'éducation nationale. Nous espérons que d'autres lycéens, parents et enseignants nous rejoindront dans la rue.
Le ministère devra réagir devant la mobilisation lycéenne car dans les prochains jours les lycéens viendront de plus en plus grossir les rangs des manifestants et de nombreux parents et enseignants nous rejoindront dans les rues.
Erwann Ramondenc
Responsable Fédéral de l'UNL 31
Contact: unl31@unl-fr.org 06 74 11 57 03
--
Fédération UNL 31
unl31@unl-fr.org
http://unl31.blogspot.fr
dimanche 4 mai 2008
Communiqué de presse de l'UNL 31 (04/05/08)
Toulouse, le 4 mai 2008
Un mouvement d’ampleur qui fera entendre les revendications lycéennes !
La semaine dernière les lycéens étaient encore nombreux dans la rue pour défendre le service public d'éducation menacé par les politiques budgétaires du gouvernement. Le gouvernement fait toujours la sourde oreille à nos revendications sur les suppressions de plus de 8000 postes dans le secondaire et sur la question des bacs professionnels en 3 ans. Xavier Darcos devra dans les prochains jours réagir face au mouvement qui s'amplifie et entendre les revendications des lycéens.
L'UNL 31 appelle les lycéens à amplifier la mobilisation pour montrer leur détermination face aux mesures du gouvernement. En outre l'UNL 31 appelle les lycéens à s'organiser en assemblées générales dans tous les lycées et à mettre en place des actions communes contre la politique éducative du ministre de l'Education Nationale. L'UNL 31 se félicite en outre que des syndicats de l'Education Nationale appellent à la grève le mardi 6 mai.
L'UNL 31 appelle les lycéens à de nouveau descendre dans la rue mardi 6 mai à 14h place du Capitole à Toulouse et appelle les Assemblées générales à organiser le blocage des lycées pour réclamer une autre ambition éducative que la suppression de postes.
Erwann Ramondenc
Responsable Fédéral de l'Union Nationale Lycéenne de Haute Garonne
Contact presse: Erwann Ramondenc 06 74 11 57 03
vendredi 2 mai 2008
Une fin de semaine chargée...
Après la manif de mardi 29 qui a rassemblée 1000 personnes dans les rues de Toulouse pour protester contre les suppressions de postes, la réforme du bac pro en 3 ans...; une centaine de lycéens étaient présent le 1er mai aux côtés des travailleurs pour montrer leur soutien.
La semaine prochaine, une nouvelle journée de mobilisation est annoncée, le 6 mai ,la manif aura lieu à 14h place du Capitole à Toulouse
Pour ceux qui ne le savent pas et aussi pour un petit rappel, la Coordination des lycéens toulousains aura lieu dimanche 4 mai à 15 h, rendez vous au métro Capitole, ligne A
dimanche 27 avril 2008
Nouvelles journées de mobilisation pour le retour de vacances de la zone A et notamment de Toulouse
Communiqué de l'UNL 31
Toulouse le 27 avril 2008,
Après le retour de vacances de la zone B la semaine dernière et une amplification de la mobilisation contre la casse du service public d'éducation dans les villes de province, c'est maintenant le retour de la zone A et notamment de Toulouse qui a vu avant les vacances plus de 3000 lycéens dans la rue.
Les lycéens ont désormais pris conscience des dangers de la politique du ministère de l'Education Nationale et ils seront de plus en plus nombreux dans la rue dès la semaine prochaine. L'UNL 31 appelle les lycéens à descendre dans la rue le mardi 29 avril, à 14h place du Capitole à Toulouse et à rejoindre la manifestation du jeudi 1er mai, à 10h place Arnaud Bernard.
Face à l'entêtement du ministre quant aux revendications des lycéens, l'UNL 31 appelle les lycéens de la région Toulousaine et du département à montrer au ministère que les lycéens de toute la France sont eux aussi préoccupés par les conditions d'apprentissage qui se dégradent de plus en plus. L'UNL 31, souhaite que l'on prenne davantage en compte l'avis des lycéens. Les lycéens ne veulent pas être dans des classes surchargées. Les lycéens souhaitent pouvoir choisir des enseignements, des options car nous savons que ces options sont des facteurs d'ouverture culturelle. De plus à l'heure où la France va prendre la présidence de l'Union Européenne, de nombreuses sections européennes sont sacrifiées sur l'autel du budget. Les lycéens savent très bien que le nombre d'élèves dans le secondaire ne baisse pas tant qu'on veut bien nous le faire croire.
Par ailleurs, les lycéens attendent toujours des précisions sur l'avenir des BEP et sur la mise en place sans concertation du Bac Pro en 3 ans. Nous pensons à l'UNL que ce bac pro réduit ne va pas permettre à certains lycéens de pouvoir suivre et de mener à bien leur projet professionnel.
Enfin nous voulons en descendant dans la rue faire savoir au gouvernement que, nous lycéens, nous ne sommes pas manipulés ni désinformés par les syndicats d'enseignants ou autres, mais que que nous avons pris pleinement conscience des dangers qui pèsent sur le service public d'éducation. L'UNL 31 rappelle par ailleurs que l'UNL à lancé un appel des élus lycéens de la Vie Lycéenne pour soutenir le mouvement, qui a été signé par une partie des délégués de la Vie Lycéenne.
C'est pour toutes ces raisons que l'UNL 31 appelle les lycéens à s'informer dans les assemblées générales organisées dans les lycées puis à descendre dans la rue pour refuser la politique éducative menée par le gouvernement.
Erwann Ramondenc
Responsable Fédéral de l'Union Nationale Lycéenne de Haute Garonne
Contact presse: Erwann Ramondenc 06 74 11 57 03
vendredi 25 avril 2008
Rappel, prochaine réunion de la CLT
La prochaine réunion de la Coordination des Lycéens Toulousains aura lieu demain, samedi 26 avril, à 15h à la Bourse du Travail de Toulouse, place St-Sernin. Les réunions auront lieu tous les samedis, même heure, même lieu pour coordonner les actions et préparer les manifestatons.
Dernier communiqué de presse de l'UNL nationale: Xavier Darcos doit entendre enfin les lycéens !
Paris, le 24 Avril 2008.
Après la réussite de la journée d'action de ce jeudi 24 avril, l'UNL appelle le ministère de l'Education à ouvrir dès maintenant un vrai dialogue avec les lycéens. Faute d'être entendus les élèves poursuivront le mouvement et l'amplifieront une fois de plus mardi 29 avril.
L'UNL se félicite de la mobilisation d'aujourd'hui qui a marqué une nouvelle étape du mouvement lycéen, les lycéens ayant réussi leur mobilisation en province avec des manifestants venus nombreux dans toutes les principales villes des académies de la zone B. L'UNL appelle à continuer la mobilisation et les manifestations le mardi 29 avril, où les lycéens de la zone B seront rejoint par ceux de la zone A qui rentrent de vacances la semaine prochaine. Le mouvement promet de s'amplifier encore à cette occasion, la détermination des lycéens à faire entendre leurs revendications par le ministre demeurant intacte.
Suite à l'intervention ce soir du président de la République, l'UNL affirme clairement que l'objectif d'une réforme du lycée doit être d'améliorer la réussite de tous les élèves et non de permettre des économies. L'opposition entre qualitatif et quantitatif dans l'Education n'a pas aujourd'hui grand sens. Les lycéens souhaitent en effet une réforme pour l'enseignement secondaire, ils ont leurs propositions à porter dans ce cadre mais estiment qu'elle ne peut avoir lieu sur la base de suppressions massives de moyens. C'est pourquoi ils se mobilisent pour obtenir des conditions d'étude décentes et non pour réclamer comme le gouvernement semble le croire une augmentation continue du nombre de postes d'enseignants.
Les lycéens se sont fortement mobilisés aujourd'hui et le seront à nouveau mardi. L'UNL rappelle qu'elle est prête au dialogue avec le ministre de l'Education Nationale mais ce dialogue doit pour aboutir être souhaité également par Xavier Darcos, ce qui n'a guère paru être le cas jusqu'ici. Il importe désormais de prendre en compte les revendications d'un mouvement lycéen dont l'importance ne peut être niée et qui ne faiblit pas.
L'UNL se félicite de la mobilisation d'aujourd'hui qui a marqué une nouvelle étape du mouvement lycéen, les lycéens ayant réussi leur mobilisation en province avec des manifestants venus nombreux dans toutes les principales villes des académies de la zone B. L'UNL appelle à continuer la mobilisation et les manifestations le mardi 29 avril, où les lycéens de la zone B seront rejoint par ceux de la zone A qui rentrent de vacances la semaine prochaine. Le mouvement promet de s'amplifier encore à cette occasion, la détermination des lycéens à faire entendre leurs revendications par le ministre demeurant intacte.
Suite à l'intervention ce soir du président de la République, l'UNL affirme clairement que l'objectif d'une réforme du lycée doit être d'améliorer la réussite de tous les élèves et non de permettre des économies. L'opposition entre qualitatif et quantitatif dans l'Education n'a pas aujourd'hui grand sens. Les lycéens souhaitent en effet une réforme pour l'enseignement secondaire, ils ont leurs propositions à porter dans ce cadre mais estiment qu'elle ne peut avoir lieu sur la base de suppressions massives de moyens. C'est pourquoi ils se mobilisent pour obtenir des conditions d'étude décentes et non pour réclamer comme le gouvernement semble le croire une augmentation continue du nombre de postes d'enseignants.
Les lycéens se sont fortement mobilisés aujourd'hui et le seront à nouveau mardi. L'UNL rappelle qu'elle est prête au dialogue avec le ministre de l'Education Nationale mais ce dialogue doit pour aboutir être souhaité également par Xavier Darcos, ce qui n'a guère paru être le cas jusqu'ici. Il importe désormais de prendre en compte les revendications d'un mouvement lycéen dont l'importance ne peut être niée et qui ne faiblit pas.
Florian Lecoultre
Président de l'UNL
Président de l'UNL
Contact presse : Lucas Jourdain : 06 74 78 84 40
mercredi 23 avril 2008
Un souvenir de vacances...
Pour nous les vacances se terminent bientôt, mais on peut quand même envoyer un souvenir à M. Darcos sous la forme de cette carte postale à renvoyer dans une enveloppe timbrée à l'adresse du ministère de l'Education.....
>>>>Alors que la mobilisation lycéenne est commencée depuis plus de trois semaines et qu'interviennent les vacances scolaires dans les zones A et C, les lycéens de la zone B sont déterminés à reprendre le flambeau du mouvement dès le mardi 22 avril. Mais les élèves en vacances, tout comme leurs parents et leurs professeurs, peuvent aujourd'hui continuer à montrer leur mobilisation en envoyant au ministre de l'Education Nationale Xavier Darcos une carte postale dont le modèle est proposé par l'UNL pour lui rappeler la détermination de la communauté éducative à obtenir des moyens à la rentrée 2008.
Tous les lycéens en vacances, mais aussi bien évidemment ceux qui ont repris les cours et l'ensemble de ceux qui soutiennent les revendications du mouvement, pourront ainsi manifester sous une nouvelle forme leur opposition à une politique éducative qui ne se fonde que sur la rigueur budgétaire.
L'UNL appelle en conséquence à utiliser massivement ce nouvel outil et à renvoyer au ministère le maximum de ces cartes postales pour montrer symboliquement la force intacte du mouvement de protestation des lycéens, des enseignants et des parents d'élèves [...].
>>>>Alors que la mobilisation lycéenne est commencée depuis plus de trois semaines et qu'interviennent les vacances scolaires dans les zones A et C, les lycéens de la zone B sont déterminés à reprendre le flambeau du mouvement dès le mardi 22 avril. Mais les élèves en vacances, tout comme leurs parents et leurs professeurs, peuvent aujourd'hui continuer à montrer leur mobilisation en envoyant au ministre de l'Education Nationale Xavier Darcos une carte postale dont le modèle est proposé par l'UNL pour lui rappeler la détermination de la communauté éducative à obtenir des moyens à la rentrée 2008.
Tous les lycéens en vacances, mais aussi bien évidemment ceux qui ont repris les cours et l'ensemble de ceux qui soutiennent les revendications du mouvement, pourront ainsi manifester sous une nouvelle forme leur opposition à une politique éducative qui ne se fonde que sur la rigueur budgétaire.
L'UNL appelle en conséquence à utiliser massivement ce nouvel outil et à renvoyer au ministère le maximum de ces cartes postales pour montrer symboliquement la force intacte du mouvement de protestation des lycéens, des enseignants et des parents d'élèves [...].
Florian Lecoultre
Président de l'UNL >>>>
L'appel des Elus lycéens
L'Union Nationale Lycéenne fait appel aux élus lycéens des CAVL pour qu'ils signent "L'appel des Elus Lycéens pour le Service Public d'Education" afin de lancer un message fort au gouvernement et au ministère en montrant que les lycéens élus et donc représentatifs de tous les lycéens ne veulent pas eux non plus d'une casse du service public d'éducation. L'UNL demande à tous les élus de bien vouloir signer cet appel en faveur de notre éducation, du service public d'éducation pour tous les lycéens.
mardi 22 avril 2008
Dernier communiqué de presse de l'UNL nationale: Mobilisation lycéenne : une journée d'action réussie !
Paris, le 22 Avril 2008.
Le bilan de la journée de mobilisation d'aujourd'hui pour les lycéens des académies de la zone B montre que le mouvement lycéen prend de l'ampleur en province. Les manifestations de cet après-midi à Lille et Strasbourg ont montré que les lycéens s'impliquent désormais de façon croissante dans le mouvement. L'UNL appelle dans ces académies à une nouvelle journée de mobilisation et de manifestations jeudi 24 avril.
Alors qu'on dénombre des dizaines d'AG lycéennes aujourd'hui et que les établissements dans les villes qui ont repris le travail lundi sont mobilisés, qu'ils soient bloqués ou perturbés, les manifestations de cet après-midi ont encore relayé la colère des lycéens en province. Après les 1000 manifestants qui défilaient à Tours et 2 500 à Toulon ce matin, ce sont près de 400 lycéens qui ont participé à la manifestation organisée à Charleville-Mézières. A Lille, alors que des bacs blancs avaient lieu dans de nombreux lycées, plus de 500 élèves ont pris part au cortège. A Strasbourg où le ministre Xavier Darcos s'est rendu hier, 2 000 manifestants ont clamé leur refus d'une politique éducative fondée sur les restrictions budgétaires.
Les actions lycéennes décidées par les AG (manifestations, blocages, rassemblements…) se multiplient en ce début de semaine en province, alors même que les lycéens ne sont rentrés que depuis deux jours. Il s'agit donc d'une mobilisation très encourageante pour la suite du mouvement lycéen si les revendications qu'il exprime ne sont toujours pas entendues du gouvernement dans les jours à venir. Le travail d'information engagé auprès des lycéens démontre son efficacité avec la prise de conscience par les élèves des enjeux de la mobilisation, ce qui promet une participation croissante aux mobilisations à venir.
L'UNL appelle les lycéens à se mobiliser à nouveau jeudi 24 avril et à manifester dans les grandes villes, ainsi qu'à poursuivre les AG d'ici là pour préparer cette journée d'action qui s'annonce suivie. La mobilisation d'aujourd'hui est en effet de bon augure pour la participation des lycéens aux actions qui auront lieu jeudi. Le gouvernement aurait tort de parier sur l'essoufflement du mouvement et doit comprendre qu'entendre enfin les revendications lycéennes serait maintenant faire preuve de responsabilité.
Alors qu'on dénombre des dizaines d'AG lycéennes aujourd'hui et que les établissements dans les villes qui ont repris le travail lundi sont mobilisés, qu'ils soient bloqués ou perturbés, les manifestations de cet après-midi ont encore relayé la colère des lycéens en province. Après les 1000 manifestants qui défilaient à Tours et 2 500 à Toulon ce matin, ce sont près de 400 lycéens qui ont participé à la manifestation organisée à Charleville-Mézières. A Lille, alors que des bacs blancs avaient lieu dans de nombreux lycées, plus de 500 élèves ont pris part au cortège. A Strasbourg où le ministre Xavier Darcos s'est rendu hier, 2 000 manifestants ont clamé leur refus d'une politique éducative fondée sur les restrictions budgétaires.
Les actions lycéennes décidées par les AG (manifestations, blocages, rassemblements…) se multiplient en ce début de semaine en province, alors même que les lycéens ne sont rentrés que depuis deux jours. Il s'agit donc d'une mobilisation très encourageante pour la suite du mouvement lycéen si les revendications qu'il exprime ne sont toujours pas entendues du gouvernement dans les jours à venir. Le travail d'information engagé auprès des lycéens démontre son efficacité avec la prise de conscience par les élèves des enjeux de la mobilisation, ce qui promet une participation croissante aux mobilisations à venir.
L'UNL appelle les lycéens à se mobiliser à nouveau jeudi 24 avril et à manifester dans les grandes villes, ainsi qu'à poursuivre les AG d'ici là pour préparer cette journée d'action qui s'annonce suivie. La mobilisation d'aujourd'hui est en effet de bon augure pour la participation des lycéens aux actions qui auront lieu jeudi. Le gouvernement aurait tort de parier sur l'essoufflement du mouvement et doit comprendre qu'entendre enfin les revendications lycéennes serait maintenant faire preuve de responsabilité.
Florian Lecoultre
Président de l'UNL
Président de l'UNL
Contact presse : Lucas Jourdain : 06 74 78 84 40
Dernier communiqué de presse de l'UNL nationale: Forte mobilisation des lycéens en province à la mi-journée !
Au moment où intervient une nouvelle journée de manifestation dans les académies de la zone B, l’importance des mobilisations de ce matin par exemple à Tours ou à Toulon montre que le mouvement lycéen, loin de faiblir, s’étend au contraire. Le gouvernement ne peut plus se permettre de rester obstinément sourd à des revendications légitimes exprimées avec force depuis des semaines par les lycéens.
Le relai de la mobilisation en province est de toute évidence en train d’avoir lieu dans les académies qui ont repris le travail lundi où les élèves se sont mobilisés dès ce matin. A Tours, ce sont 5 lycées qui sont perturbés ou bloqués et près de 1 000 lycéens qui ont manifesté ce matin. Une délégation de l’UNL a également été reçue à l’Inspection académique d’Indre-et-Loire. A Toulon, plus de 2 500 manifestants lycéens ont défilé alors que 5 lycées du Var sont également bloqués.
Des actions ont également eu lieu ce matin dans la Creuse où le lycée Pierre Bourdan à Guéret est bloqué avec une AG lycéenne. Dans les Deux-Sèvres, des opérations lycées morts à Niort et Bressuire ont été un succès puisque quasiment aucun élève ne s’est présenté. De même, une manifestation et une AG ont eu lieu en Guyane, et les initiatives de mobilisation se multiplient en ce moment même dans les lycées de la zone B.
Alors même qu’une forte mobilisation est attendue lors des manifestations de cet après-midi notamment à Lille et Strasbourg, l’UNL se félicite de constater que les lycéens de province sont bien présents et déterminés à prolonger le mouvement lycéen, montrant par là le danger qu’il y aurait pour le gouvernement à continuer de nier l’importance de la mobilisation.
Le relai de la mobilisation en province est de toute évidence en train d’avoir lieu dans les académies qui ont repris le travail lundi où les élèves se sont mobilisés dès ce matin. A Tours, ce sont 5 lycées qui sont perturbés ou bloqués et près de 1 000 lycéens qui ont manifesté ce matin. Une délégation de l’UNL a également été reçue à l’Inspection académique d’Indre-et-Loire. A Toulon, plus de 2 500 manifestants lycéens ont défilé alors que 5 lycées du Var sont également bloqués.
Des actions ont également eu lieu ce matin dans la Creuse où le lycée Pierre Bourdan à Guéret est bloqué avec une AG lycéenne. Dans les Deux-Sèvres, des opérations lycées morts à Niort et Bressuire ont été un succès puisque quasiment aucun élève ne s’est présenté. De même, une manifestation et une AG ont eu lieu en Guyane, et les initiatives de mobilisation se multiplient en ce moment même dans les lycées de la zone B.
Alors même qu’une forte mobilisation est attendue lors des manifestations de cet après-midi notamment à Lille et Strasbourg, l’UNL se félicite de constater que les lycéens de province sont bien présents et déterminés à prolonger le mouvement lycéen, montrant par là le danger qu’il y aurait pour le gouvernement à continuer de nier l’importance de la mobilisation.
Florian Lecoultre
Président de l'UNL
Président de l'UNL
Contact presse : Lucas Jourdain : 06 74 78 84 40
lundi 21 avril 2008
Prochaine réunion de la Coordination des Lycéens Toulousains
Pour rester en contact avec tous les lycéens du département et plus particulièrement de la région toulousaine et afin d'organiser la mobilisation et les futures actions, l'UNL 31 soutient et participe aux réunion de la CLT...
Prochaine réunion de la CLT, le samedi 26 avril à 15h à la Bourse du Travail, place St Sernin à Toulouse.
--
Fédération UNL 31
unl31@unl-fr.org
Prochaine réunion de la CLT, le samedi 26 avril à 15h à la Bourse du Travail, place St Sernin à Toulouse.
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Fédération UNL 31
unl31@unl-fr.org
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